Synopsis: Amanda et Jake s’aiment et veulent tout (re)commencer à Los Angeles. Sauront-ils faire les bons choix ? Les vingt-quatre premières heures de leur nouvelle vie vont les emmener de surprises en déconvenues d’un bout à l’autre de la ville.
La fiche du film
Le film
Le cinéma américain indépendant produit de belles pièces , mais celle-ci ne me parait pas susceptible d’atteindre leur niveau.
Un film bien agréable, manichéen, sur le rêve (éternel) américain pour ce couple à l’insouciance bienfaitrice. On les adopte très vite, Amanda et Jake, bien sympathiques et tellement amoureux. Ce qui ne plait pas du tout à la famille de la jeune fille qui sans détour le lui fait savoir.
Alors ils s’en éloignent, gage d’une liberté assurée vers Los Angeles où tous les rêves se réalisent, pensent-ils.
Une fois au pied du mur, ils composent avec les réalités de l’existence, que leur inexpérience traduit par une maladresse quasi congénitale.
Alors comment continuer à y croire, comment continuer à s’aimer lorsque l’horizon s’obscurcit irrémédiablement ?
Ça tient la marée, un peu (l’arnaque de l’entretien professionnel et celle de la fourrière) mais le reste demeure seulement plaisant, naïf, voire bien souvent prévisible une fois les personnalités ancrées dans un récit pas vraiment défini. Un problème de scénario peut-être.
Dans lequel tout s’enchevêtre : galère voiture, métro, embrouille, argent volé. L.A qui ne serait qu’une illusion confirmée par le rappeur-copain qui flambe mais ne luit pas.
Morgan Saylor et McCaul Lombardi , très impliqués, ont l’air d’y croire . Ca rassure un peu et incite à poursuivre l’aventure . Mais je les ai déjà oubliés…
Le film
Pour s’éloigner de la famille et de la belle-famille Amanda et Jake se rendent à Los Angeles, pour vivre, travailler, et surtout rêver au bonheur. Une fois sur place, très vite, les illusions s’envolent et nos deux jeunes héros se frottent aux dures réalités du quotidien. Galère voiture, métro, embrouille, argent volé, promesse d’embauche envolée, l’arnaque est à tous les coins de rue, et même le copain rappeur n’est pas ce qu’il disait. Il reste alors ce film bien agréable, manichéen, sur le rêve (éternel) américain et un couple à l’insouciance bienfaitrice. Juste un temps.