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« Il Boemo » de Petr Vaclav. Les Suppléments

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LES SUPPLEMENTS

  • Scènes d’opéra inédites ( 52 mn ) – Il s’agit d’extraits du film , beaucoup plus détaillés, dans ses parties chantées . L’opéra dans toute sa grandeur

Avec Sophie Harmsen  « Non so se ilmio peccato »  (« je sais qu’en ce moment cruel je fus horrifiée et glacée ») … Emöke Baráth  Philippe Jaroussky, Benno Schachtner, Juan Sancho  Romolo Ed Ersilia. Nous sommes en représentation, le théâtre, la scène, l’orchestre, et les chanteurs . Il l’a traite d’ingrate elle lui répond tyran

Philippe Jaroussky,  « Milles furies me torturent …», « Mentre dormi » ( auprès de Raffaella… ) « pendant que tu dors puisses l’amour inonder tes rêves délicieux » …

  • Entretien avec le réalisateur par Camille Nevers de Libération- « Moi dans un pays communiste, entouré de barbelés, l’histoire de cet homme qui le quittait pour aller vivre libre en Italie, ça me fascinait »

« Avec le film j’ai essayé de le faire redécouvrir, de le démystifier, on arrêtait pas de dire que c’était quelqu’un de divin »

Un énorme travail sur le tournage «  je connais désormais tous les théâtres et palais en Italie » . La personnalité de son héros , toujours au service de sa musique, jusqu’au bout L’absence de références musicales et cinématographiques , il explique pourquoi

  • « Confession d’un disparu » de Petr Vaclav ( 1 h 17 mn )- Pietro Metastasio, connu en France sous le nom de Métastase est l’auteur en 1733 de « L’Olimpiade », dont Josef Myslivecek ( il boemo ) a écrit son propre livret, une seule fois représenté à San Carlo à Naples

Le chef d’orchestre Vaclav Luks retrouve la partition, et la joue à son tour . Ce qui donne l’idée à Petr Vaclav de repartir sur les pas de cet homme oublié « qui se cache dans les archives et surtout sa musique ».

Cette vie qui commence à Prague en 1734 et s’achève en 1781 à Rome est peu documentée. Reste la correspondance de son ami Mozart, quelques documents, des critiques et des notices dans les gazettes.

Organisé autour des répétitions  orchestrales de « L’Olimpiade » ce film documentaire retrace le destin d’un grand artiste d’opéra italien.

« J’avais plus de chance de faillir que de réussir, mais je n’avais pas le choix, soit de satisfaire mon désir, soit mourir de honte ». Il est difficile à interpréter reconnait une chanteuse, « chez Mozart il y a une évidence, c’est clair ».

Mais Josef Myslivecek applique à son pupitre une rigueur sans faille. « Il fallait que la difficulté musicale corresponde à l’épreuve psychologique des personnages ».

Et le succès lui court après si l’on en croit les commentaires du réalisateur. « A peine avais-je donné un opéra que je partais pour un autre , toujours à cours d’argent, j’écrivais de la musique ».

Mais quand il sent sa dernière heure venue, (il souffre beaucoup de la syphilis ), le compositeur le plus prolifique de son époque ne se retourne pas vers son passé. « Pourquoi ouvrir des souvenirs qui ne sont pas porteurs d’avenir ? »

Pour voir la critique LES SUPPLEMENTS Scènes d’opéra inédites ( 52 mn ) - Il s’agit d’extraits du film , beaucoup plus détaillés, dans ses parties chantées . L’opéra dans toute sa grandeur Avec Sophie Harmsen  « Non so se ilmio peccato »  (« je sais qu’en ce moment cruel je fus horrifiée et glacée ») … Emöke Baráth  Philippe Jaroussky, Benno Schachtner, Juan Sancho  Romolo Ed Ersilia. Nous sommes en représentation, le théâtre, la scène, l’orchestre, et les chanteurs . Il l’a traite d’ingrate elle lui répond tyran Philippe Jaroussky,  « Milles furies me torturent …», « Mentre dormi » ( auprès de Raffaella……
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