Les séquelles de « Gravity », ce non-sens cinématographique signé Alfonso Cuarón, demeurent toujours vives, quand l’imaginaire me renvoie dans les étoiles. Non pas que Ridley Scott ait failli à la mission du septième art, mais le fait de voyager dans l’espace interstellaire sur grand écran me laisse décidément froid. « Interstellar » de Christopher …
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Meilleur dvd Octobre 2015 (8 ème).- D’après le roman de Sébastien Faulks Les anglais parlent de la première guerre mondiale avec les sentiments. Et accentuent le trait romantique pour dépeindre cette époque d’horreur au milieu de laquelle un homme et une femme vont s’élever contre les conventions pour vivre pleinement leur …
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Grand Prix du Jury à la Mostra de Venise. Dans le coffret Jane Campion . Egalement chroniqué dans ce coffret : » Les courts métrages, « Bright star », « La Leçon de piano« Si les étoiles n’apparaissent pas, reportez-vous à la fin de l’article L’enfance n’est pas tendre avec elle-même. Et les adultes …
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Meilleur dvd Octobre 2015 (8ème) Je demeure ébahi par ce film, son exotisme et son mystère, avec cette impression de ne toujours pas savoir qui est Noor. Au générique de fin, l’héroïne aura pourtant tout révélé de son histoire, elle demeure une énigme attachante au cœur d’un drame personnel. Noor …
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Meilleur dvd Octobre 2015 ( 5 ème ) Une mère irresponsable, celle de « Délinquant juvénile », un gamin grand, déterminé comme un adulte (« Le petit homme » de Sudabeh Mortezai). Une thématique familiale (*) écornée par les vicissitudes d’une cellule familiale éclatée. Les hommes sont aux abonnés absents, les femmes, mères célibataires, …
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Werner Herzog a écrit l’une des plus grandes pages du cinéma mondial.
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L’idée de l’ascenseur en panne est assez marrante. Le proprio du premier ne veut pas participer à la réparation en raison de sa position géographique . Samuel Benchetrit l’utilise à fond et elle fonctionne plutôt bien sous la houlette de Gustave Kervern tout à fait dans son rôle de patapouf qui …
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Meilleur dvd Octobre 2015 ( 6 ème ) La diversité du cinéma coréen permet aujourd’hui de sortir des sentiers battus par sa violence coutumière (« Company Man » de Lim Sang-yoon, « J’ai rencontré le diable » de Kim Jee-Woon…). Devant cette virtuosité, cette efficacité, une autre école coréenne apaise les débats de manière …
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