Dévédéthèque

La trilogie de Koker, trois films indispensables au bonheur du cinéma

Un grand classique du genre, qui s’éloigne des stéréotypes, et se rapproche de la vérité.

D’après «  Les six jours du Condor » de James Grady Au départ un excellent roman de James Grady sur lequel les scénaristes Lorenzo Semple Jr. et David Rayfiel ont joliment tricoté. Cette façon de retourner les valeurs du héros en cible potentielle fixe d’emblée l’attention du spectateur sur une histoire …

On a tellement écrit sur ce film , ses implications, et sa quasi-virginité soixante-quinze ans plus tard qu’il est difficile d’en rajouter une phrase pour dire le bonheur chaque fois renouvelé de le retrouver ainsi intact et sans rature.

Il n'est toujours pas élucidé, mais le film demeure une pièce exceptionnelle pour la défense et ... l'accusation !

Si vous pouvez voir ce film sans en lire une ligne, encore moins son résumé ...

Une belle épopée, et une grande fresque remise au goût du jour pour éclairer l’Histoire et ses avatars.

Kiarostami toujours aussi étrange, fabuliste et conteur d’un monde qui n’existe peut-être pas. Mais c'est du (bon) cinéma nous rassure-t-il...