Un bonheur de liberté au ras du bitume new-yorkais, l'ivresse et la folie
lire »« Un peuple et son roi » de Pierre Schoeller. Critique cinéma-dvd
Meilleur dvd Janvier 2019 (3ème ) Un peuple et son roi. Pierre Schoeller évite le mot qui fâche. Révolution ! Et la manière dont on prend la Bastille, ce sont des pierres qui tombent et laissent passer le soleil dans la rue. Jolie métaphore poétique pour dire la liberté qui ne cesse …
lire »« The Place » de Paolo Genovese. Critique cinéma
Intriguant ce film, mais au-delà du concept entrevu, il cherche sa propre issue
lire »« Les frères Sisters » de Jacques Audiard. Critique cinéma-bluray
Meilleur dvd Janvier 2019 ( 2 ème ) César de la meilleure photographie D’après le roman éponyme de Patrick DeWiit . – Le début est pénible. Sur les plaines du Far West, Jacques Audiard mesure l’empreinte des géants. Il observe ses héros mal barrés. Un braquage qui foire et l’avenir …
lire »« Première année » de Thomas Lilti. Critique cinéma-dvd
Meilleur dvd Janvier 2019 (5ème).- Thomas Lilti connait bien le milieu médical. Le généraliste le parcourt à nouveau derrière l’œilleton d’une caméra qu’il manipule aussi bien que le scalpel. Pour nous parler d’une spécificité universitaire avec un savoir-faire de cinéaste. Sa mise en scène est immédiate, évidente, pour dire l’histoire …
lire »« Blackkklansman – J’ai infiltré le ku klux klan » de Spike Lee. Critique cinéma-dvd
Un mal qui ronge et qui toujours démange. Alors Spike Lee nous redit tout en grattant jusqu’à l’os.
lire »Les trente films de mon année 2018
Il ne s’agit pas d’un classement, mais d’une sélection des trente films qui ont marqué mon blog cette année. Alors on ne se révolte pas en voyant « 3 Billboards, les panneaux de la vengeance » ou « Foxtrot » au fond de cette liste. Ce sont deux très grands films que je …
lire »« Retour à Howards end » de James Ivory. Critique cinéma
D’après le roman de E.M.Forster . – En adaptant les grands classiques de l’écrivain britannique E.M. Forster, James Ivory, le plus esthète des cinéastes américains est devenu anglais. Une conversion naturelle sur l’écran où les mots du romancier trouvent une juste place dans une mise en scène toujours aussi soignée et …
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