Les critiques

D'après l'affaire Edouard Stern , un banquier assassiné dans une position sado-masochiste , le cinéaste dresse le portrait d'une femme en dérive totale . Un très grand tableau .

Ce film , c’est toute une  histoire. Le making of est très bavard, qui de Steven Spielberg à toute l’équipe technique, explique les tenants et les aboutissants d’une loufoquerie aujourd’hui encore conservée dans son formol de bizarreries. Les scénaristes partent d’une histoire vraie : après le traumatisme de Pearl Harbour, l’Amérique voit …

Exubérant, le réalisateur met toute son imagination au service d'un peuple et d’une réalité sociale. Un chef-d’oeuvre !

Une histoire vraie, un défi au sommet des Alpes Bavaroises en 1936, alors que le parti nazi exacerbe la suprématie de la race aryenne. Ce film méconnu mérite de ne pas le rester .

Pedro Almodòvar dévoile le cinéma qu’il aime…, le sien compris.

Dans la série des vrais faux documentaires, ce film est une mine , avec en prime un groupe de hard-rock complètement inventé. Mais quand la réalité rejoint la fiction , il faut bien trois dvd , magnifiques pour raconter tout ça .

La caméra d'or du dernier festival de Cannes, erre comme une âme en peine dans un quartier déserté, où les quelques habitants y vivent plus par habitude, que par nécessité.

Pour le 1er volet de la nouvelle collection Classics Confidential,le film noir s’offre un beau coffret Prestige avec « La femme au portrait » et « La rue rouge », deux chefs-d’œuvre "jumeaux" de Fritz Lang.Suspense sur toute la ligne .