Prix de la Critique à Cannes 2014. Porté par l’extase, ce récit relate, sans la montrer, la sauvagerie des hommes. Lisandro Alonso nous évite le génocide qui à la fin du XIX ème siècle allait ensanglanter ce coin perdu de Patagonie où débarque un ingénieur danois. Sa jeune fille qui l’accompagne …
lire »« Les merveilles » de Alice Rohrwacher. Critique cinéma-dvd
Prix du jury à Cannes en 2014 ! Vous pouvez m'expliquer ?....
lire »« Spartacus & Cassandra » de Ioanis Nuguet. Critique dvd
Meilleur dvd Septembre 2015 ( 5 ème ) Ce documentaire s’appuie sur les codes de la fiction : une raison supplémentaire de découvrir ce sujet éminemment traité ces derniers temps par le cinéma et autres supports médiatiques. Le parti pris formel est lui aussi parfaitement clair et réussi : c’est à hauteur d’enfants …
lire »« Le virtuose » de François Girard. Critique Blu ray
Meilleur dvd Septembre 2015 (4 ème ) C’est un Billy Elliot à sa façon. Le gamin est orphelin. Sa mère vient de mourir et son père ne l’a jamais vu. Stet a 12 ans et retient sa colère dans une solitude totalement revendiquée.Même pas un enfermement, à peine rebelle, mais jamais …
lire »« Adaline » de Lee Toland Krieger. Critique e-cinema-dvd
Blake Lively de retour au cinéma, c’est déjà une merveilleuse nouvelle
lire »« The Program » de Stephen Frears. Critique cinéma
« Je suis Lance Armstrong, et ce connard n’est rien » (à l’adresse de Davis Walsh, le journaliste qui démasquera l’imposteur) Menteur, voleur, tricheur, et coureur. Beaucoup pour un seul homme que le monde entier a salué pendant un septennat avant de découvrir ce qui se murmurait, et parfois même ce …
lire »« Un peu, beaucoup, aveuglément » de et avec Clovis Cornillac. Critique dvd
Meilleur dvd Septembre 2015 Ce film dépasse les codes de la comédie romantique pour aller chercher un peu de poésie et de fantasmagorie, là où habituellement on ne joue que sur des sentiments. Clovis Cornillac, premier film et plein d’idées en tête le traduit avec un bonheur égal devant et derrière la …
lire »« Youth » de Paolo Sorrentino. Critique cinéma
Ces vieux, qui comme le cinéma, n’en finissent pas de mourir
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