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The Rolling Stones « Sticky Fingers » at the Fonda Theatre

La collection « From The Vault » n’en finit pas de sortir ses trésors

La fiche du DVD / Blu-Ray

Le film : "Sticky Fingers Live at the Fonda Theatre (CD+DVD Digipack)"
De : Paul Dugdale
Avec :
Sortie le : 29 septemb 2017
Distribution : UNIVERSAL
Durée : 102 minutes
Film classé :
Nombre de DVD / Blu-Ray : 2
Le documentaire

Dans la Collection « From The Vault »  (concerts dits historiques) les  Stones se rendent ce 20 mai 2015 au Fonda Theater d’Hollywood. Ils y jouent l’intégralité de « Sticky Fingers » pour la première et unique fois de leur carrière.

Ce concert célébrait la réédition de cet album et le lancement de la tournée « Zip Code Tour » qui allait sillonner l’Amérique du nord durant deux mois. Dans des stades qui n’avaient rien à voir avec l’intimité du Fonda Theater où les Stones ne retrouvent d’ailleurs pas l’allant scénique devenu quasiment leur marque de fabrique.

Jagger tout aussi déhanché pose raisonnablement les bases de cet album dans lequel le thème de la drogue est récurrent. Ce que confirment les intéressés lors de courtes interventions entre certains titres. On délire un peu alors autour de la fameuse pochette (mais à qui appartient cette braguette) et sur la conception de l’album.

« On a enregistré dans ma maison de campagne » se souvient Mick Jagger « Jim Price et Bobby keys étaient en haut, pourquoi ? on avait de drôles d’idées pour placer les gens. Keith me disait que je les faisais bosser beaucoup trop. J’ai répondu ils ont l’air d’avoir envie de le faire ».  

Keith Richard remarque cependant qu’une fois les répétitions terminées « ce mec (Bobby Keys) pouvait se détendre plus vite que n’importe qui ».

On demande entre deux titres à Ronny Wood le morceau qu’il craint le plus. « Ils me font tous peur, surtout pour l’intro je suis inquiet mais aussi sur l’arrangement et chaque solo, mais à part ça c’est du gâteau ».

A le voir harponner son manche il semble pourtant que ça glisse comme sur des roulettes, avec une assurance qui ne se dément pas. Ce n’est pas forcément le concert le plus significatif de leur carrière, ( le réalisateur Paul Dugdale était déjà aux manettes ) mais pour la couleur blues ici fortement marquée, avec un couronnement de cuivres à la Redding (« I got the blues »), doublé dans les bonus (« I can’t turn you loose ») – mais pourquoi en bonus ? – on ne va pas bouder son plaisir.

  • Les titres. « Start Me Up » – « Sway » – « Dead Flowers » – « Wild Horses » – « Sister Morphine » – « You Gotta Move » – « Bitch » – « Can’ t You Her Me Knocking » – « I Got The Blues » – « Moonlight Mile » – « Brown Sugar » – « Rock Me Baby » – « Jumpin’ Jack Flash ».
  • Bonus. « All Down The Line » – « When The Whip Comes Down » – « I Can’t Turn You Loose »
  • Le CD et le triple vinyle rassemblent tous les titres joués lors de ce concert.
  • Encore quelques Stones !….

« Olé, Olé, Olé » – « Totally Stripped« -« Marquee Club 197« -« From the Vault (1981)« -« Some Girls…« -« Muddy Waters & The Rolling Stones« -« Ladies & Gentlemen, The Rolling Stones« –« Havana Moon »-« L.A.Forum 1975″– » Crossfire Hurricane« …

Dans la Collection « From The Vault »  (concerts dits historiques) les  Stones se rendent ce 20 mai 2015 au Fonda Theater d’Hollywood. Ils y jouent l’intégralité de « Sticky Fingers » pour la première et unique fois de leur carrière. Ce concert célébrait la réédition de cet album et le lancement de la tournée « Zip Code Tour » qui allait sillonner l’Amérique du nord durant deux mois. Dans des stades qui n’avaient rien à voir avec l’intimité du Fonda Theater où les Stones ne retrouvent d’ailleurs pas l’allant scénique devenu quasiment leur marque de fabrique. Jagger tout aussi déhanché pose raisonnablement les bases de cet album…
Le documentaire

Dans la Collection « From The Vault » autour des concerts dits historiques des Rolling Stones, ce 20 mai 2015 ils sont au Fonda Theater d’Hollywood. Le groupe joue sur scène l’intégralité de « Sticky Fingers » pour la première et unique fois de sa carrière. Ce n’est pas forcément le concert le plus significatif de leur histoire mais pour la couleur blues ici fortement marquée, avec un couronnement à la Redding (« I got the blues »), doublé dans les bonus (« I can’t turn you loose ») on ne va pas bouder son plaisir. Surtout que plusieurs intermèdes permettent d’entendre les intéressés raconter la conception de l’album et la manière dont ils appréhendent certains titres. C’est assez inédit

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