Le titre, en hommage ou clin d’œil, n’a rien à voir avec le film d’Alain Resnais. Quelques similitudes, simplement, autour d’une catastrophe nucléaire qu’une jeune allemande, Marie, va découvrir en se rendant à Fukushima. Marie fait le clown pour aider les gens qui vont mal. Et oublier son passé. Mais on ne …
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On en fait beaucoup ( trop ) sur ce film, mais ... à juste titre !
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Vu au Festival du film britannique de Dinard .— Histoire classique : le souffre-douleur prend du poil de la bête et devient le héros. Un poil au-dessus du classique : il prospère en compagnie d’un nouvel ami parachuté là on ne sait trop comment, ni pourquoi. Un voisin bienheureux comme le …
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« Réfléchir, c’est le début de la fin » dit l’avocat … Le cinéma chilien et les années Pinochet. De façon indirecte, détournée, voire allégorique comme cet accident à priori mineur au point que Vicente qui vient juste de rendre le volant à son propriétaire ne s’est aperçu de rien. Encore sous …
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Raphaël Personnaz, enfin. Je le trouvais bon acteur, sans véritable personnalité. Comme un manque de repères, d’identité. Le jeune homme paraît taiseux, plus observateur que va-t-en-guerre. Un peu à l’image du héros du jour qu’il incarne parfaitement. Personnaz est le film plus que le récit inspiré par l’aventure vécue de Sylvain Tesson …
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Le film emblématique de l'avènement du Front Populaire avec Jean Gabin et Charles Vanel
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Un plan séquence de 140 mn, oui mais après ? Le cinéma !
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Ces vieux, qui comme le cinéma, n’en finissent pas de mourir
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