Synopsis: Eté 1971. Anna, jeune mère ravissante et frivole, remporte le concours de beauté d’une station balnéaire.Son tempérament inconséquent et jouisseur rend sa vie de famille quelque peu chaotique.30 ans plus tard, toujours marqués par cette vie haute en couleurs,Anna et ses enfants, réunis à son chevet, sauront-ils se réconcilier ?
La fiche du Disque
3 Donatello (Meilleure Actrice, Meilleur Acteur, Meilleur Scénario)
Prix de la Critique 32ème Cinéma Montpellier 2010
Prix du Public Festival du Film Italien de Villerupt
Prix du Jury Jeune du Festival Arte Mare de Bastia – Festival du Film et des Cultures Méditerranéennes.
« Ce fut une expérience émouvante pour moi de faire ce film dans la ville dont j’ai essayé de m’échapper pendant un quart de siècle. Apparemment, je ne pouvais pas m’en séparer complètement. Livourne est comme ma scène personnelle.
Peut-être parce que mon précédent film « Tutta la vita davanti, » m’a mis face à des problèmes contemporains perturbants, j’ai voulu cette fois-ci me protéger dans la chaleur de cette histoire, qui parle de personnages qu’on apprend à aimer : le cercle de la vie avec ses durs mais joyeux mystères, dans une famille comme beaucoup d’autres. Et pour une fois, peut-être, pas de regard sur notre société. Seulement de vibrants morceaux de mon cœur. » Paolo Virzì
Mais encore
Micaela Ramazzotti, qui interprète le rôle féminin principal , est la femme de Paolo Virzi. C’est leur deuxième collaboration après « Tutta la vita davanti » , en 2008.
Stefania Sandrelli est une des légendes du cinéma italien. Elle a tourné avec les plus grands réalisateurs comme Bernardo Bertolucci, Ettore Scola, Federico Fellini et côtoyé les plus grands acteurs comme Marcello Mastroianni et Nino Manfredi.
- Making of ( 12 mn )
5 Commentaires
Pingback: « Mezzanotte » de Sebastiano Riso . Critique cinéma
Pingback: "Folles de joie" de Paolo Virzi. Critique cinéma
Pingback: « Viva il cinema » : à Tours, tournez sept fois …
Pingback: « Viva il cinema » : le virus va-t-il ramener sa bobine ?
Pingback: "La terre éphémère" de George Ovashvili. Critique dvd