Synopsis: Il était une fois deux truands juifs, Max et Noodles, liés par un pacte d'éternelle amitié. Débutant au début du siècle par de fructueux trafics dans le ghetto de New York, ils voient leurs chemins se séparer...
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New York à la fin de la Prohibition. Recherché par le FBI à la suite d’une combine qui a mal tourné, David « Noodles » Aaronson se réfugie dans une fumerie d’opium. Il doit quitter la ville en catastrophe pour n’y revenir que trois décennies plus tard, en 1968, alors qu’une mystérieuse note le presse de se rendre sur la tombe de ses anciens amis.
De retour dans le quartier juif de Brooklyn, Noodles se rappelle les souvenirs de sa jeunesse : son adolescence dans ces rues, les règlements de compte entre bandes, ses rendez-vous amoureux avec Deborah, et sa rencontre avec Max, le caïd qui l’entraîna peu à peu dans le crime…
C’est le troisième volet d’une saga portant sur plusieurs périodes clés de l’histoire américaine. Le premier opus, Il était une fois dans l’Ouest, se situe à l’époque de la conquête de l’Ouest. L’action du deuxième épisode, Il était une fois la révolution, se déroule en pleine révolution mexicaine.
Parachèvement de l’œuvre de Sergio Leone, « Il était une fois en Amérique » est un regard désabusé sur une génération forgée dans la violence et l’avidité. Adapté du roman « The Hoods » de Harry Grey,, ce récit proustien déploie une nébuleuse de souvenirs et de visions opiacées qui racontent l’avènement du grand banditisme sur plusieurs époques.
L’ampleur de la reconstitution de New York et la dimension épique du tournage (qui dura près d’un an) en font une œuvre sans pareille dans l’histoire du cinéma.
Réunissant Robert De Niro , James Woods, Elizabeth McGovern, Jennifer Connelly et Joe Pesci, l’exceptionnelle distribution dévoile des personnages emblématiques, à la fois romanesques et dénués d’héroïsme, symboles du gâchis laissé par une vie corrompue. Transcendé par la musique d’Ennio Morricone, le film est traversé par un lyrisme mélancolique, aboutissement du style visuel et narratif de Sergio Leone qui place « Il était une fois en Amérique » parmi les monuments du septième art. Ce sera son dernier film .En 1989, l’année de sa mort, le réalisateur travaillait sur un projet de long métrage portant sur le siège de Leningrad.
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