« Ailleurs je ne suis rien, ici je suis capitaine » dit le fourbe et lâche Neuville… Comme un retour aux sources.  Le cinéma de Papa. Rappeneau à la rescousse et les clichés du genre. Je ne sais pas pourquoi Laurent Tirard exhume les costumes d’Empire pour une comédie en images comme …

D’après le roman éponyme de Georges Arnaud.- BAFTA (césar anglais) du Meilleur film en 1955, Ours d’or au Festival de Berlin en 1953, prix d’interprétation pour Charles Vanel Grand Prix (la Palme d’Or n’existe pas encore) du Festival de Cannes 1953. Racistes, misogynes, machistes, phallocrates, les personnages de Clouzot recroquevillés …

Une vision sombre de la vie suivant l'Occupation qui aujourd’hui pose encore des problèmes …

C’est le prénom de la jeune femme qui harcèle notre héros. C’est aussi un défaut …

Et à quatre on saute sur ce film qui se joue des apparences et de l’amour …

On ressort "L'homme de Rio » prolongé de sa fausse vraie suite « Les tribulations d’un chinois en chine ». Un vrai faux frère...

« Dis-toi bien qu’si quelque chose devait me manquer, ce serait plus l’vin, ce serait l’ivresse.». Audiard, dans le texte et l’image, au cœur d’un bouquin qui lui ressemble.

Dans une version restaurée, le premier film du futur auteur des « Parapluies de Cherbourg ». Un voyage dans le temps et le cinéma…