Six récompenses, dont celle du meilleur film, aux Prix du cinéma européen, décerné à la fin de l'année 2010, voilà une juste distinction pour une œuvre qui mérite d'être vue et revue ...

Un film rare sur l'univers carcéral porté par des comédiens totalement habités. Et des bonus !

Prix spécial du jury à la dernière Mostra de cinéma de Venise ce film est la première comédie d'un jeune et talentueux réalisateur Fatih Akin. Une grande première, qui m'a un peu décu. Le making of est à voir absolument .

Pour sortir de leur quotidien banlieusard, deux copines décident de s’attaquer à la vie parisienne . Le miroir aux alouettes ne renvoie pas forcément l’image attendue..

Deux musiciens iraniens, tentent de monter un groupe, histoire de quitter le pays. Il faut un passeport, un visa, et donc beaucoup d’argent…

Dans l’intimité d’une vie finissante, Staline se fait soigner en secret, tandis qu’à l’extérieur, ses plus proches amis tremblent toujours de peur. Marc Dugain adapte lui-même son roman éponyme . Avec André Dussollier , méconnaissable dans l’uniforme de Staline, c’est une performance de plus .

Tout le monde le croyait mort, alors son retour au pays pose quelques problèmes.Le remake du film danois prend bien évidemment l’Amérique comme décor, et la guerre en Afghanistan. Il lui reste fidèle.

Quand le corps de Vincent est retrouvé dans le Rhône, sans vie ,salement amoché, les policiers (Gilbert Melki , Emmanuelle Devos ) entament une enquête traditionnelle. Mais la façon dont ce premier film la rapporte l'est beaucoup moins. Un premier film, donc...