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« Les Cent et une nuits » d’Agnès Varda. Critique cinéma

Synopsis: Monsieur Cinéma est presque centenaire. Ex-acteur, producteur et réalisateur, il croit être le cinéma à lui tout seul et vit dans un château-musée avec son majordome, Firmin. Il perd la boule et embrouille tout. Il engage alors une jeune cinéphile pour faire faire de l'aérobic à sa mémoire qui flanche. De nombreux visiteurs, des stars et un groupe de jeunes animent sa vieillesse confuse et heureuse.Les jeunes voudraient sa fortune pour " faire du cinéma ".

La fiche du film

Le film : "Les cent et une nuits de Simon Cinéma"
De : Agnès Varda
Avec : Michel Piccoli, Julie Gayet
Sortie le : 25/01/1995
Distribution :
Durée : 101 Minutes
Genre : Comédie, Romance
Type : Long-métrage
Le film

A l’aube de son centenaire, Simon Cinéma (Michel Piccoli) s’offre les services d’une papy-sitter chargée de lui rafraîchir la mémoire. Un ami italien l’aide également dans cette tâche. Marcello jouant les Mastroianni : superbe !

La belle, (Julie Gayet) étudiante et cinéphile, imagine un stratagème pour soutirer le magot de l’ancêtre, afin de financer le court-métrage de son petit copain (Mathieu Demy).

Ce retour sur investissement cinématographique est involontairement le seul hommage tangible de la réalisatrice qui pour le reste s’empêtre dans un récit où se bousculent, pêle-mêle une flopée d’extraits cinématographiques.

 Le digest pour cinéphile est indigeste.

Pour honorer le vieux, on imaginait plus d’entrain et d’émotion, des tranches de bonheur féerique liées à la magie du septième art. Tout ce que le film d’Agnès Varda suggère sans jamais le révéler.

Quand elle filme « à la manière de… » le propos prend parfois un peu de consistance. A cet égard la Garden party est un petit régal qui débute comme « Un dimanche à la campagne » (Sabine Azéma se fend d’une bonne réplique) pour se conclure façon Buñuel.

Mais l’âge d’or auquel se réfère la cinéaste est terni par une réalisation maladroite. A peine commencée la fête est gâchée. Dommage !

A l’aube de son centenaire, Simon Cinéma (Michel Piccoli) s’offre les services d’une papy-sitter chargée de lui rafraîchir la mémoire. Un ami italien l’aide également dans cette tâche. Marcello jouant les Mastroianni : superbe ! La belle, (Julie Gayet) étudiante et cinéphile, imagine un stratagème pour soutirer le magot de l’ancêtre, afin de financer le court-métrage de son petit copain (Mathieu Demy). Ce retour sur investissement cinématographique est involontairement le seul hommage tangible de la réalisatrice qui pour le reste s’empêtre dans un récit où se bousculent, pêle-mêle une flopée d’extraits cinématographiques. https://www.youtube.com/watch?v=ulqWFu33oEQ  Le digest pour cinéphile est indigeste. Pour honorer le…
Le film

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