Les cinémas Pathé Gaumont présentent la première édition du Festival Dolby Cinéma, pour voir ou revoir quatre films – en lice pour la 92ème édition des Oscars – dans les conditions des salles Dolby Cinéma.
Du 29 janvier au 04 février
8€ (et 2€ pour les abonnés CinéPass et porteurs de prépayés).
LE PROGRAMME
- « Once Upon a Time… in Hollywood » réalisé par Quentin Tarantino
En 1969, la star de télévision Rick Dalton et le cascadeur Cliff Booth, sa doublure de longue date, poursuivent leurs carrières au sein d’une industrie qu’ils ne reconnaissent plus.
Un Tarantino sans hémoglobine ça ne fonctionne pas. Et même avec ça ne fonctionne pas non plus après deux heures d’un discours lénifiant sur les années heureuses d’Hollywood. Il reste encore trois quart-d ’heure à supporter entre pastiche, plagiat, et copie-conforme d’un cinéma qui a vécu ce que vivent les légendes. Pour en savoir plus …
- « Joker » réalisé par Todd Phillips.
Il y a 35 ans, un film américain nous relatait l’état du pays à travers une institution psychiatrique. L’un de ses pensionnaires prend la tête de la révolte et met la pagaille dans son monde. C’est Mc Murphy joué par Jack Nicholson dans « Vol au-dessus d’un nid de coucou » de Milos Forman.
15 ans plus tard, le même Nicholson se grime en Joker pour contrer le « Batman » de Burton. C’est grandiose. Pour en savoir plus…
- « 1917 » réalisé par Sam Mendes.
Golden Globes : meilleur film dramatique, meilleur réalisateur
Dans la cohorte des films du genre, « 1917 » est une pièce unique, d’autant plus inédite qu’elle rappelle aux jeunes générations ce que fut la première guerre mondiale. Au-delà de l’œuvre de mémoire dont on nous serine les tympans, Sam Mendes renoue avec l’Histoire, la rend visible, factuelle, en usant de procédés techniques et créatifs, novateurs.
Sa narration en conserve une rigueur exemplaire. Pas d’effets de style, encore moins spéciaux, pas de boucherie au sens de nos manuels scolaires et de quelques films encore à la traîne. Pour en savoir plus …
- « LE MANS 66 » réalisé par James Mangold.
Le sujet s’y prête, mais ce cinéma sent bon la pellicule . Du vrai ( le faux n’existe pas ), spectaculaire et populaire, avec ce vernis de l’histoire qui nous rappelle comment le monde économique survit à ses aléas sportifs.
Comme sur cette piste d’atterrissage où les pilotes vrombissent de mille feux sur des engins de légende. Nous sommes dans les années soixante, années pendant lesquelles, châssis et carrosseries ont encore bien du mal à se comprendre. Pour en savoir plus …
Intéressant, les salles Dolby cinéma offre une qualité de visionnage parfaite. Il est où ce festival ?
dans les salles ad-hoc , voilà