Le Festival de cinéma ibérique et latino-américain Ojoloco se tient à Grenoble du mardi 18 mai au dimanche 30 mai 2021. Il est accessible en ligne : ojoloco-grenoble.com**.
Ce rendez-vous est l’occasion de découvrir de nouveaux horizons culturels et cinématographiques ibériques et latino-américains avec 3 compétitions : fiction, documentaire et courts-métrages.
« Au-delà de la tenue du Festival, nous souhaitons permettre l’émergence de nouveaux talents et d’accompagner les films sur la durée : c’est pour cela que chaque compétition sera accompagnée d’un prix ». Alice Garcia cite comme exemples, une proposition d’acquisition de distribution en salles par Platano Films, une résidence de 3 semaines à Lussas (en partenariat avec Ardèche Images).
Le festival Ojoloco est organisé depuis 2013 dans le bassin grenoblois par l’association Fa Sol Latino . Son objectif est de promouvoir le cinéma et la culture latino-américaine et ibérique.
Pass festival 8 € pour l’ensemble des films sur la durée du festival –Pass fictions ou documentaire 5€ pour l’ensemble des films de la compétition-Certaines séances sont proposées gratuitement.
- Mais aussi :
Cycle sur les réalisatrices espagnoles en partenariat avec l’Institut Cervantes et projection de deux classiques du cinéma de patrimoine cubain « Guantanamera » de Juan Carlos Tabio et Tomas Gutiérrez Alea, et « Vampiros en la Habana » de Juan Padron
Tables-rondes à l’occasion de la publication du livre collectif « Gouvernements progressistes en Amérique latine (1998-2018) : la fin d’un âge d’or » Presses Universitaires de Rennes (http://www.pur-editions.fr/detail.php?idOuv=5097).
- Les films en compétition
– Fiction :
« Animo Juventud », Carlos Armella-« Chaco », Diego Mondaca-« Ella es Cristina », Gonzalo Maza,-« Lina de lima », Maria paz Gonzalez-« La sabiduría », Eduardo pinto-« Mamá, mamá, mamá », Sol Berruezo Pichon-Rivière-« Ojos negros », Marta lallana et Ive Castelo-« Um animal amarelo », Felipe Bragança
_ Documentaire :
« Apuntes para una película » de Atracos, León siminiani-« Chaco », Daniele Incalcaterra et Fausta Quattrini-« Como el cielo después de llover », Mercedes Gaviria Jaramillo-« El agente topo », Maité Alberdi –« Erase una vez en Venezuela », Anabel Rodriguez rios –« Negra », Medhin Tewolde Serrano
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