Accueil » Les critiques » Critiques DVD » « Strike Back » de Daniel Percival. Critique DVD

« Strike Back » de Daniel Percival. Critique DVD

Synopsis: Soldat en Irak en 2003, John Porter prend au cours d'une opération de sauvetage une décision qui va ruiner sa vie. Au lieu de l'exécuter, il choisit d'assommer un jeune garçon portant une veste bourrée d'explosifs. Ce choix causera la mort de deux soldats britanniques

La fiche du DVD / Blu-Ray

Le film : "Strike Back - Saison 1"
De : Daniel Percival
Avec : Richard Armitage, Andrew Lincoln,Jodhi May & Colin Salmon
Sortie le : 26 juin 2012
Distribution : Universal Pictures
Durée : 255 minutes
Film classé : Tous publics
Nombre de DVD / Blu-Ray : 3
Le film
Les bonus

Meilleur dvd Juin 2012 ( 7 ème )

John Porter est un ancien membre des forces spéciales britanniques, destitué après avoir été accusé du meurtre de trois de ses collègues, lors d’une attaque à Bassora. C’est par cet événement que la série débute. Le rythme est déjà très soutenu et il le restera quasiment tout au long des trois épisodes de cette première saison .

On peut les voir séparément, bien que l’argument dramatique de l’ouverture serve de petit fil conducteur aux aventures suivantes.Une durée peu commune (1 h 30, chaque fois) et des situations qui ,autour du film d’action, sont en prises directes avec la réalité. La présence américaine en Afghanistan,  les rapports avec les alliés, dont l’Angleterre ,la situation géo-politique de l’Afrique gangrenée par des interventions étrangères souterraines…

Il s’agit des deux premiers volets de la série, les plus intéressants à mon avis ; le troisième est d’un classicisme tout à fait formaté dans l’esprit série… Le scénario est soigné  et la  mise en scène  donne à voir des explosions et des courses poursuites haletantes, des scènes parfois terribles, accusatrices,mais les personnages demeurent au cœur du système .

Strike Back

Malgré une  direction d’acteurs appuyée  elle  nous mène au cœur de l’Afrique où les enfants du sida se terrent pour ne pas être enlevés par des trafiquants (entre l’Afrique du Sud et le Zimbabwe), tandis qu’à des milliers de kilomètres de là, d’autres enfants prennent les armes pour combattre l’envahisseur américain.

Au milieu de ce bordel organisé à l’échelle planétaire, notre héros joue les James Bond, se jetant chaque fois dans la gueule du loup , volontairement, pour aller jusqu’au bout de sa mission. Il doit alors surfer sur les bisbilles anglo-américaines, dont il est bien souvent l’otage. Et se souvenir qu’une famille l’attend au pays. Ça aussi c’est un  ingrédient  qui dans la recette BBC fait toujours son effet. Moi, je veux bien, mais l’important est quand même ailleurs. Allez-y voir !…

Les responsables des services secrets britanniques en plein briefing. Après quoi, place à l’action !…
  •  Making of (16.30 mn). Un classique du genre avec beaucoup plus de commentaires sur le film de la part de ses auteurs, que de réelles scènes de tournage.

Meilleur dvd Juin 2012 ( 7 ème ) John Porter est un ancien membre des forces spéciales britanniques, destitué après avoir été accusé du meurtre de trois de ses collègues, lors d’une attaque à Bassora. C'est par cet événement que la série débute. Le rythme est déjà très soutenu et il le restera quasiment tout au long des trois épisodes de cette première saison . On peut les voir séparément, bien que l’argument dramatique de l’ouverture serve de petit fil conducteur aux aventures suivantes.Une durée peu commune (1 h 30, chaque fois) et des situations qui ,autour du film d’action,…

Review Overview

Le film
Les bonus

Une série de trois longs métrages , quasiment indépendants les uns des autres, un sens de l’action sur un scénario bien écrit, des situations plutôt plausibles dans l’ensemble, bien que notre héros fait plus James Bond qu’autre chose, pourquoi s’en priver ?

Avis Bonus : Un making of sans véritables scènes de tournage, mais des commentaires...

User Rating: Be the first one !

Voir aussi

« Trois amies » d’Emmanuel Mouret. Critique cinéma

Beaucoup moins inspiré par ses marivaudages, Emmanuel Mouret en rajoute

Laisser un commentaire