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« The Dictator » de Larry Charles .Critique Cinéma

Synopsis: L’histoire héroïque d’un dictateur qui va jusqu’à risquer sa vie pour s’assurer que son cher pays oppressé ne devienne jamais une démocratie.

La fiche du film

Le film : "The Dictator"
De : Larry Charles
Avec : Sacha Baron Cohen, Ben Kingsley
Sortie le : 20/06/2012
Durée : Inconnu
Genre : Comédie
Type : Long-métrage
Le film

Conservant un souvenir amusé de «Borat», je ne me suis pas précipité pour assister aux nouvelles élucubrations de Sacha Baron Cohen . Je n’aurais pas du me précipiter du tout, tant ma déception est à la hauteur d’un préambule génial et hilarant. Il laissait entrevoir monts et merveilles, et ne laisse que ruines et désolation.

Une fois avalées les couleuvres des armes nucléaires enterrées, les sanctions de l’ONU et les menaces de l’OTAN, Larry Charles , abandonne sa caméra aux mains de son dictateur de comédien. Et lui, n’en fait qu’à sa tête, sans souci  du pseudo conformisme de  « Borat » pour lequel on se demandait si c’était du lard ou du cochon.

Ici la tranche est si fine que c’est dans le gras de l’humour que le duo tente de rameuter nos zygomatiques , les miennes personnellement , étant restées au repos la plupart du temps. Prendre les gardes du corps façon Kadhafi pour des vaches à lait , avant de nous imposer un accouchement façon « M.A.S.H » , les subtilités en moins, ne mérite pas la palme du premier rigolo de la classe.

Sacha-Baron-Cohen-The-Dictator

J’ai cru un instant que l’affaire allait prendre une autre allure quand on comprend ce que deviennent les sacrifiés du tyran. Comme s’ils se retrouvaient dans un paradis gastronomique, en quête d’une revanche façon «  printemps arabe ». Mais non l’idée n’effleure même pas les intéressés portés sur le grand n’importe quoi (la formule préférée du mégalo de service), et les situations abracadabrantesques.

Mais comme le scénario est vraiment faible, elles tournent à vide. Ca m’énerve !

Conservant un souvenir amusé de «Borat», je ne me suis pas précipité pour assister aux nouvelles élucubrations de Sacha Baron Cohen . Je n’aurais pas du me précipiter du tout, tant ma déception est à la hauteur d’un préambule génial et hilarant. Il laissait entrevoir monts et merveilles, et ne laisse que ruines et désolation. Une fois avalées les couleuvres des armes nucléaires enterrées, les sanctions de l’ONU et les menaces de l’OTAN, Larry Charles , abandonne sa caméra aux mains de son dictateur de comédien. Et lui, n’en fait qu’à sa tête, sans souci  du pseudo conformisme de  « Borat »…

Review Overview

Le film

Sur une idée de réalité politique détournée, le duo de "Borat" ne retrouve pas la tonalité et l'humour qui lui avaient valu les honneurs à l'époque. Ici c'est gras et redondant, avec des scènes qui tournent le plus souvent à vide...

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